Soutien aux psychologues-psychothérapeutes en formation - Unterstützung für Psychotherapeuten in der Ausbildung- Supporto agli psicoterapeuti in formazione

Commentaires

#212

Il est déjà quasi impossible pour les familles et personnes autistes de trouver un psychologue spécialisé en autisme. Si parmi les rares que nous connaissons à Genève certains ne sont plus remboursés, ce serait catastrophique, car seules les familles très aisées pourraient faire le choix d'engager un psychologue adapté pour leur enfant.

Au lieu de cela, nous préférerions que l'on encourage beaucoup plus les jeunes psychologues à choisir une autre voie que la filière psychanalytique, qui est totalement inadaptée aux personnes autistes. Pour rappel, la prévalence de l'autisme selon les estimations internationales est de 1 sur 44, même si en Suisse on parle encore de 1 sur 100. Il est incroyable qu'on n'encourage pas plus les psychologues à se former à des méthodes compatibles avec l'autisme et à se spécialiser dans ce domaine.

Yvette Barman (Genève, 2022-06-21)

#217

Je signe parce que je souhaite m'engager dans une formation postgrade en psychothérapie également et je partage les mêmes inquiétudes.

Laetitia Favereaux (01280 PREVESSIN MOENS, 2022-06-21)

#221

Mon amie vient de terminer 10 ans d'études et risque de ne pas pouvoir exercer le métier pour lequel elle est formée. De plus un grand nombre de patients se trouveront sans soignant, ce qui est à l'évidence très dommageable.

Marianne Berdoz (Geneve , 2022-06-21)

#222

Car je soutient ma femme qui vient d'obtenir son titre et qu'elle accède enfin aux droits qui lui incombent.

Bastien Labhart (Chêne-Bourg, 2022-06-21)

#224

Cela me paraît correct, et que changer les conditions en cours de route aurait peut être fait que certaines personnes n'auraient pas choisi cette voie de formation.

Eduard Iosif (Marsens, 2022-06-21)

#230

Je signe parce que mon amie vient de terminer 10 ans d'études et risque de ne pas pouvoir exercer le métier pour lequel elle est formée. De plus un grand nombre de patients se trouveront sans soignant, ce qui est à l'évidence très dommageable

Lauriane Coucou (Meyrin, 2022-06-21)

#231

Je suis psychologue en formation de psychothérapeute.

Muriel Arrigoni (Martigny , 2022-06-21)

#234

Ce sujet concerne directement mon avenir professionnel

Vincent Di Paolo (Genève , 2022-06-21)

#238

Je suis car je souhaite assurer le meilleur des suivis pour mes patients en gardant mon poste actuel, ainsi que terminer ma formation en toute sérénité (avec des critères non changés en cours de route)

Julie Querio (Genève, 2022-06-21)

#246

D'une part je pense qu'il est injuste de changer les règles du jeu en cours de partie. D'autre part, cette nouvelle loi aura pour conséquence des thérapies à deux vitesses ce qui n'est pas admissible.

France Ballivet (Genève, 2022-06-22)

#252

Future étudiante en master

Florenta Ferati (12a chemin de villars , 2022-06-22)

#254

Je suis directement concernée.

Valdomina Schmied Pernici (Matran, 2022-06-22)

#257

Il n'est pas acceptable qu'une volée soit sacrifiée: on ne change pas les règles du jeu pendant la partie. Une solution peut et doit être trouvée.

Marc Ballivet (Genève, 2022-06-22)

#258

Je signe car je suis en accord complet avec les critiques émises dans cette pétition et je soutiens les propositions qui sont amenées.

Noémie Jeanmonod (Lausanne, 2022-06-22)

#277

Je soutiens la cause

Sandrine Trolliet (Bons en chablais, 2022-06-22)

#282

Je suis concernée par les dispositions prises quand aux années de pratique en institution ISFM.
Je trouve qu'il est temps de réfléchir a des solutions pour créer des postes ou des associations afin que nous puissions finir notre formation dans les meilleures conditions que ce soit pour nous, et pour ne pas léser nos patients

Line Morier-Genoud (Lausanne, 2022-06-22)

#286

Parce que je suis en formation et je suis très inquiète de mon avenir en tant que psychothérapeute.

francesca Trincas (Geneve, 2022-06-22)

#289

La solution actuelle ne tient pas la route

Pierre Gex (Bulle, 2022-06-22)

#312

Je suis en formation et je n'ai pas eu accès à un emploi dans une institution A ou B ISFM ce qui me me garantit pas la sécurité de l'emploi.

Mathilde Chappuis (Genève, 2022-06-22)

#320

je signe parce que les conditions concrètes et institutionnelles pour permettre à ces psychologues en formation déjà très engagés dans leur parcours professionnels ne sont pas réunies pour qu'une très large majorité d'entre eux puissent terminer leur formation, ce qui les précarisera.

Chantal Thévenoz Burnand (Genève, 2022-06-22)

#330

Pour que les psychologues en formation actuellement puissent bénéficier d’une réglementation transitoire qui lève l’obligation de faire 1 an dans une institution, vu le peu de place de stage existant actuellement , et ce pour qu’ils puissent terminer leur formation et ne pas rester des psychologues en formation durant des années en attendant d’avoir une place de stage.

Nadia Camparini (Bernex, 2022-06-22)

#333

Il faut tenir compte des personnes en formation se trouvant au milieu d’une phase de transition dans le modus du cursus vers l’obtention du titre professionnel visé

Robert Schaffer (Verbier, 2022-06-22)

#337

Je suis scandalisée par ce changement de loi alors qu’il y plus que jamais besoin de psys.

Béatrice Chappuis (Nyon, 2022-06-23)

#344

je soutien les jeunes psychologues dans leur démarche

Khadija Ammar (Geneve, 2022-06-23)

#347

Je signe parce que je soutiens activement les psychologues en formation de psychothérapie. En effet, cette formation représente déjà un investissement conséquent les psychologues méritent de pouvoir terminer leur formation dans des conditions favorables et pouvoir être reconnus. Je soutiens aussi tous les patients qui risque de se retrouver sans thérapeute.

Amaya Palama (Genève , 2022-06-23)

#356

Ma fille travaille dans ce domaine

Olivier Jeanneret (Ecoteaux, 2022-06-23)

#363

Je signe parce que suis préoccupée à la fois pour les nombres de suivis thérapeutiques qui vont devoir s'interrompre (patients sans soin) et pour les psychologues en formation qui, après de nombreuses années d'études, de pratique et des sommes conséquences dépensées pour la formation en cours, risquent de se retrouver sans emploi parce que les conditions pour exercer auront changé une fois déjà engagés dans leur formation post-grade.
Je signe aussi pour espérer que les institutions se mobiliseront pour offrir des places pour une pratique clinique de 12 mois à 100%, si cette conditions devait être maintenue

Béatrice Weber (Genève, 2022-06-23)

#368

Je suis solidaire aux psychotherapeutes en formation

Christine Surchat (Bulle, 2022-06-23)

#381

On en doit changer les règles en cours de formation. Des mesures transitoire s'imposent

DOMINIQUE BELIN (Genève, 2022-06-24)

#384

Je signe pour assurer à mes collègues et à moi même le droit d'exercer dans de bonnes conditions et d'assurer une relève optimale pour les anciennes générations de psychologue/psychothérapeute alors que nous pénétrons dans une ère où l'accès à la santé mentale sera, j'en suis convaincu, plus important que jamais.

Rémi Duquesnoy (Lausanne, 2022-06-24)

#387

Je signe car un entre-deux doit être trouvé pour les psychologues-psychothérapeutes actuellement en formation. Aussi, prévoyant moi-même de faire un MAS, j'aimerais m'assurer que celui-ci, au vu des coûts évoqués sur le plan personnel, professionnel et financier, soit réalisable et utile pour la suite de mon parcours.

Patricia Fernàndez (Aigle , 2022-06-24)

#396

je suis la mère d'une psychologue qui vient de terminer 10 ans d'études exigeantes en temps, en investissement personnel et en argent (35 000.-), qui a obtenu son titre de psychothérapeute mais juste pas son droit de pratique. Comment peut on en arriver à de telles aberrations en maltraitant de la sorte de jeunes thérapeutes dont la mission est de prendre soin des autres? Nous vivons une période sociétale difficile à plus d'un titre, nous avons besoin des forces de chacun, alors s'il vous plait, respectez ceux qui se donnent les moyens de se mettre au service des autres!

Catherine Berney (chêne-bourg, 2022-06-24)

#397

Je signe parce que cela concerne mon avenir et celui de mes collègues de Master. Au vue du nombre déjà limité de place en milieu professionnelle pour le MAS actuellement, il parrait inconcevable de réduire les exigences déjà énorme demandées.
De plus, cela met à mal non seulement un apprentissage de qualité dans les cabinets où l'on peut être sous la tutelle d'un psychothérapeute expérimenté mais également les patients qui verront leurs soins arrêtés fautes de place et de temps disponibles dans le cabinet, ne l'oublions pas, une journée de travail est de maximum 10h par jour, 6 jours dans la semaine et il faut compter 1h par patients ! Réduire les temps de thérapies est absolument inconcevable pour une thérapie digne donc on traitement digne.

Enfin, sachant déjà le coût faramineux du MAS qui peut aller jusqu'à 65000chf, les nouvelles conditions ne feront qu'augmenter les coût sans possibilité de pouvoir travailler pour y subvenir.

Si l'on veut traiter les patients avec dignité, les futurs professionnelles doivent être traité avec le même égard.

Et n'oubliez pas, un jour vous aurez aussi besoin de soin et vous seriez heureux de pouvoir en bénéficier dignement.

Amandine PETER (Denges, 2022-06-24)

#398

Pour soutenir les psychologues indépendantes

Christophe Hegi (Thônex , 2022-06-24)