Pour que les personnes en difficultés psychologiques soient enfin considérées comme des cas urgents à secourir
Après le décès par pendaison de mon ex-mari, Jean-Claude LARDINOIS et l'incendie de notre maison dont la vente était prévue le lendemain, je lance cette pétition afin que le système change... ce système même qui répond à des lois prises en dépit du bon sens. Durant des mois, j'ai crié au secours pour éviter tout cela et je suis restée seule à me débattre, seule à devoir accepter que je devais rester dans les "rails de la légalité", ne pas m'introduire dans la maison sous peine d'être accusée de violation de domicile car (dixit) "Monsieur est chez lui, il fait ce qu'il veut". J'ai tout tenté et il est resté injoignagle durant des longues semaines. Mon plus gros regret : CELUI D'AVOIR RESPECTE LA LOI !
On m'a aussi répété que je ne pouvais rien faire étant donné que j'étais divorcée en me disant que je n'avais plus aucun lien avec lui.
Il est plus que temps que l'on tienne compte du passé "médical" et "psychologique" de la personne. Le cas de Jean-Claude (alcooliques anonymes, cures Minesota, addictions) était connu mais l'on se retranchera toujours derrière deux choses : le secret médical et la notion de "vie privée".
Effectivement, chacun qui vit chez lui, fait ce qu'il veut.
Ce fut le cas de Jean-Claude : il a fait ce qu'il a voulu : il a bouté le feu et il s'est pendu.
Aidez-moi à faire changer tout cela pour que cela n'arrive plus à d'autres personnes plongées dans le désespoir.
Merci.
Jacqueline BOSSIER
bossierjacqueline@yahoo.fr Contacter l'auteur de la pétition