Lettre députés sénateurs Hérault ens supérieur et recherche
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Vœu présenté par le groupe communiste de la Mairie de Montpellier sur la situation de l'emploi à Sanofi et dans l'enseignement supérieur et la recherche
2013-07-18 09:28:00A la demande du collectif Enseignement supérieur et Recherche du Front de gauche de Montpellier, le groupe communiste du Conseil Municipal a déposé un Vœu concernant la situation de l'emploi à Sanofi et dans l'enseignement supérieur et la recherche, pour le conseil municipal du lundi 22 juillet.
LA SITUATION DE L’EMPLOI A SANOFI
ET DANS L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR
ET LA RECHERCHE
Projet de vœu déposé par le groupe communiste des élus de la mairie de Montpellier au Conseil municipal du lundi 22 juillet
sur proposition du collectif Enseignement supérieur et recherche
du Front de gauche de Montpellier
Le Conseil municipal de Montpellier renouvelle ses vives préoccupations à l’égard de la situation de l’emploi dans l’enseignement supérieur et la recherche.
CHEZ SANOFI,
principale entreprise privée de la Région, le nouveau plan de suppression du secteur recherche présenté par la Direction au début de ce mois, après l’annulation du précédent plan à la suite de sa mise en cause par les organisations syndicales, continue de prévoir la suppression d'environ 250 emplois sur le site de Montpellier, par mutations, mobilités, reclassements contraints, ouvrant ainsi la voie à une liquidation de l’ensemble de la recherche locale. Il faut rappeler que l'occupation des parties du site laissées vacantes par des "start-ups" éphémères ne permettrait que d'aggraver la précarité tout en compromettant les coopérations existantes avec CHU, IUT et Universités.
Le conseil municipal rappelle un vœu antérieur du 1er octobre 2012, unanime, sur la mobilisation de tous les Montpelliérains en vue de la défense de l’emploi à Sanofi, et sur la nécessité urgente de mettre en discussion une loi empêchant les suppressions d’emploi à visée boursière.
AU NIVEAU DE L’ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE PUBLICS,
la situation créée par l’inefficacité de la loi dite Sauvadet de 2010 est patente.
En effet, cette loi ouvre la possibilité, pour des agents contractuels, de devenir agents titulaires à l'issue d'une procédure ad hoc. Dans l'enseignement supérieur et la recherche, le nombre d'emplois précaires a très fortement augmenté ces dernières années, en particulier chez les chercheurs. En général, les doctorants ou les jeunes docteurs exercent leur activité de recherche en cumulant les CDD de trois ans. C'est l'une des conséquences de l'autonomie des universités et du transfert des charges de personnel, de la systématisation de la recherche par appels d'offres et de l'application de la révision générale des politiques publiques (RGPP). Les non-reconductions des contrats de ces jeunes doctorants ou jeunes docteurs multipliées par les directions des Etablissements Publics à caractère Scientifique et Technique afin d'éviter qu'ils bénéficient d’ancienneté, les mettent dans une situation très précaire. La fin de cette année universitaire voit s’accroître pour eux le risque de devenir chômeurs. Il faut ajouter aussi la précarisation des autres personnels indispensables à la recherche (administratifs, techniciens…). Cette pratique va non seulement à l'encontre de l'objectif de résorption de la précarité, mais elle prive nos laboratoires de l'expérience et du savoir accumulés par ces personnels. Sur Montpellier, on peut estimer le nombre des précaires de l’enseignement supérieur er de la recherche à environ 1000 emplois (soit environ un emploi sur dix du secteur), situation qui a suscité plusieurs manifestations publiques. Si l'on prend en compte la difficile situation financière des nos universités, il est difficile d'envisager une solution purement locale.
Comme le montre l’exemple de notre collectivité, qui a su créer des emplois pour transformer plusieurs centaines de CDD en CDI, il est possible de mettre un terme à une situation insupportable pour tant de jeunes dont on bouche ainsi l’avenir.
C'EST DE PLUS UN PÔLE PUBLIC DE RECHERCHE PRENANT EN COMPTE L'ENSEMBLE DU POTENTIEL ACTUEL DE NOTRE VILLE QUI EST NÉCESSAIRE POUR RÉPONDRE AUX BESOINS DE LA SANTÉ DE TOUS.
.Le conseil municipal mandate Mme le Maire et Mme et MM les élus députés et sénateurs de Montpellier pour qu’ils interviennent auprès des pouvoirs publics en vue de programmer dans un délai rapide des négociations avec les organisations syndicales et les collectifs de précaires, en vue d’un programme de résorption du précariat.
Pour donner votre avis, nous aider dans l’argumentation
Groupe communiste de la mairie de MONTPELLIER
Michel Passet, président du groupe,
Claudine Troadec, chargée des questions de santé
Secrétariat : Mathieu Pradel-Boggio 04 67 34 87 90
Collectif Enseignement supérieur et Recherche du Front de Gauche de Montpellier: <esrfdgmontpellier@free.fr>
Front de Gauche de l'enseignement supérieur et de la recherche Montpellier
Après le vote de la loi Fioraso, le collectif ESR du Fdg Montpellier appelle à un atelier pour une vraie nouvelle loi !
2013-07-18 09:07:06Madame, Monsieur,
La Commission mixte paritaire entre AN et Sénat (ou les groupes communistes et du FDG n'avaient pas de place) a abouti à un texte commun, supprimant l'amendement anti-CNU des Verts. Ceux-ci ont voté ce texte commun.
Revenu devant le Sénat, le texte a été approuvé à 2 voix de majorité : ont voté pour PS, Centristes; ont voté contre Groupe Com-Fdg, droite. EELV s'est abstenu.
Devant l'Assemblée, le même texte a été approuvé à main levée par PS, Rdg ; contre Droite, abstention EELV (qui avait voté contre en première lecture).
On trouvera l'explication de vote de MG Buffet pour le groupe GDR (Com FDG) à l'adresse : http://www.dailymotion.com/video/x11s5sd_marie-georges-buffet-assemblee-nationale-10-juillet-2013_news#.UeetzhbV79o
On peut donc considérer que les interventions auxquelles nous aovns participé en direction de nos élus n'ont pas été vaines, même si, et nous le savions bien entendu, elles n'ont pas abouti à une loi progressiste, rompant avec la LRU, prenant en compte les exigences de la majorité des opinions du milieu universitaire.
C'est pourquoi, dans le droit fil des Assises de Montreuil du 16 juin, rassemblant toutes celles et tous ceux qui veulent un vrai changement de cap à gauche, le collectif ESR du Front de gauche de Montpellier vous invitera à l'automne à des rencontres pour une autre loi sur l'ESR.
Bonnes vacances !
au moins pour celles et ceux qui peuvent en prendre …
Front de Gauche de l'enseignement supérieur et de la recherche Montpellier
La loi Fioraso n'est pas encore votée, R-Entrevue avec JLRoumégas
2013-06-29 16:58:53
Différence apprécialbe avec :
lors des très nombreuses auditions, nous avons affiné notre position qui sur l'économie générale du texte était sur le vote contre.
le travail d'amendement a permis de réelles avancées :
- l’université est inscrite comme étant au centre de la stratégie nationale de l’enseignement supérieur ;
- le transfert dans les missions d’enseignement supérieur des établissements a été nuancé ;
- la parité a été introduite dans de nombreuses instances ;
- le droit de veto a été transféré du président d’université au CA en formation restreinte ;
- la barrière pour être élu au CA est passé de 10 % des inscrits à 10 % des exprimés ;
- le statut confédéral a été ajouté aux possibilités de regroupement ;
- les futures communautés d’universités auront au moins 50 % d’élus au suffrage direct.
je me permets aussi de te citer précisément Philippe Meirieu qui s'est exprimé sur nos listes internes de discussion sur la question de la qualification:
"Pour moi, le CNU n’a pas que des vertus et il verrouille assez largement le recrutement dans certains secteurs (cf. ce qui s’est passé, par exemple, en psychologie où, à un moment, la clinique a été écartée au profit de l’expérimentalisme positiviste et des neuro-sciences)... Le CNU est aussi un lieu de pouvoir qui sait parfois admirablement habiller d’oripeaux épistémologiques des “petits arrangements entre amis”. Mais il constitue une instance de régulation possible pour échapper au triomphe du “marché” dans et entre les universités. A condition qu’il fonctionne mieux et sache se dégager, comme les universités, des critères hyper-spécialisés, quantitativistes, positivistes et “productivistes” dans lesquels l’enseignement supérieur est souvent enfermé (selon lesquels je doute que Kant ait été qualifié... quant à André Gorz et Célestin Freinet !!!)."
Pour conclure, cet amendement devra être retiré en commission mixte paritaire car il s’inscrivait dans une approche plus globale de réforme des modes de recrutement avec une série d'amendements qui eux n'ont pas été votés.
C'est le souhait du groupe des élus à l'Assemblée Nationale et au Sénat.
Reste en tout cas convaincue de l'importance que la recherche et l'enseignement supérieur publics garde aux yeux des écologistes."
Front de Gauche de l'enseignement supérieur et de la recherche Montpellier
Nouvelles de la Commission mixte sur loi "Fioraso"
2013-06-26 20:31:23Bonsoir !
Monsieur | ROUMEGAS | Jean-Louis | jlroumegas@assemblee-nationale.fr |
Madame | LE DAIN | Anne-Yvonne | ayledain@assemblee-nationale.fr |
Madame | DOMBRE-COSTE | Fanny | fdombrecoste@assemblee-nationale.fr |
Monsieur | ROIG | Frédéric | froig@assemblee-nationale.fr |
Monsieur | MESQUIDA | Kléber | kmesquida@assemblee-nationale.fr |
Monsieur | ABOUD | Elie | eaboud@assemblee-nationale.fr ou elie.aboud@ville-beziers.fr |
Monsieur | DENAJA | Sébastien | sdenaja@assemblee-nationale.fr |
Monsieur | ASSAF | Christian | cassaf@assemblee-nationale.fr |
Monsieur | VIGNAL | Patrick | vignalpatrick@gmail.com |
CIVILITE | Nom du Sénateur | Prénom du sénateur |
courriers électroniques |
Madame | BRUGUIERE | Marie-Thérèse | mt.bruguiere@senat.fr |
Monsieur | COUDERC | Raymond | com@ville-beziers.fr ou r.couderc@senat.fr |
Monsieur | NAVARRO | Robert | r.navarro@senat.fr |
Monsieur | TROPEANO | Robert | commune-de-saint-chinian@wanadoo.fr ou robert.tropeano@orange.fr |
Communiqué de presse de Brigitte-Gonthier-Morin, pour le groupe Communiste, Républicain et Citoyen du Sénat
CMP projet de loi enseignement supérieur et recherche : un texte toujours aussi inacceptable !
Les changements intervenus cet après-midi en commission mixte paritaire (CMP) sur le projet de loi enseignement supérieur et recherche sont peu nombreux.
Ils ne permettront pas à la sénatrice Brigitte Gonthier-Maurin de changer l’analyse et le vote de son groupe sur ce texte qui ne crée toujours pas les ruptures nécessaires et attendues avec les logiques initiées par la droite.
L’objectif de transfert vers le monde économique reste la pierre angulaire de ce projet de loi.
L’article 38 a été réécrit mais sans changements notables : il ne s’appuie toujours pas sur un principe de coopération souple et non hiérarchisée entre établissements, seul à même d’assurer une cohérence territoriale dans un cadre national garantissant le principe d’égalité au service public de l’enseignement supérieur et de la recherche sur tout le territoire.
Cet article substitue aux PRES de nouvelles formes de regroupements et de coopérations territoriales qui conservent les caractéristiques de superstructures de gouvernance d’autant moins démocratiques que ces regroupement sont désormais rendus obligatoires, et que la région y est associée systématiquement.
La CMP a également maintenu l’article 42C introduit au Sénat par le groupe centriste, créant un statut dérogatoire pour les établissements privés à but non lucratifs leur permettant d’avoir un système de qualification propre, un contrat pluriannuel validé par un comité spécial, sans être soumis aux contraintes que connaissent les universités.
L’article 43 bis portant atteinte au statut des personnels (mobilités entre statuts et missions simultanées) est également maintenu.
Enfin, l’article 49, qui substitue à l’AERES un Haut conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur aux missions et à la composition quasiment identiques, n’a pas non plus subi de modification malgré l’opposition quasi unanime de la communauté universitaire à ce type d’évaluation.
Seule point positif : le rétablissement de la procédure de qualification nationale dans le recrutement des enseignants chercheurs, revenant sur un amendement d’EELV adopté au Sénat, malgré son opposition.
Le groupe CRC rejettera donc les conclusions de la CMP le 3 juillet prochain lors de leur examen au Sénat.
Paris, le 26 juin 2013
Front de Gauche de l'enseignement supérieur et de la recherche Montpellier
Une information sur l'attitude de certains élu EELV
2013-06-26 10:36:55Bonjour !
Subject: Procédure de qualification des enseignants chercheurs
From: iordanoff.jeremie@gmail.com
06 77 43 12 41
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Isabelle Attard, Députée
Front de Gauche de l'enseignement supérieur et de la recherche Montpellier
Intervenez en urgence vers les élus de l'Hérault, et en particulier de JL Roumégas
2013-06-24 21:13:29Après l'entrevue avec l’attaché parlementaire de J.-L. Roumégas, député de l’Hérault, ce lundi, intervenez en urgence !
A la demande du collectif ESR du Front de Gauche de Montpellier, une délégation composée de Sandrine Michel, MCF, et Gabriel Holard Sauvy, étudiant, a été reçue en urgence par l’attaché parlementaire de J.-L Roumégas, ce lundi en fin d'après-midi ; J.-L. Roumégas étant à Paris, où il devait présenter un amendement pour son groupe sur un tout autre sujet en soirée.
La délégation a regretté que l’attaché parlementaire n'ait pas de connaissance du dossier, alors que l'importance des Universités, à Mtp, est une évidence. Ils ont rappelé l'émotion de la communauté universitaire, devant cette mise en cause du Conseil National des Universités, ce qui s'apparente à une mise en cause du statut national des enseignants-chercheurs. Ils ont donc demandé que l'amendement présenté par les Verts soit retiré, et que le représentant du groupe EELV à la Commission mixte paritaire des deux Chambres qui se réunit mercredi se prononce pour une relecture du projet de loi devant les assemblées.
L’attaché s’est engagé à faire suivre au député J.-L. Roumégas la prise de position des 180 signataires de la "lettre ouverte aux députés et sénateurs de l’Hérault ».
Nous invitons à nouveau la communauté universitaire de Montpellier à intervenir directement auprès des élus du département, et plus précisément de JLRoumégas. Le groupe EELV se réunit ce mardi 25 juin à 11h : c'est dire l'urgence de s'adresser à : <jl.roumegas@wanadoo.fr> <jlroumegas@assemblee-nationale.fr>
Front de Gauche de l'enseignement supérieur et de la recherche Montpellier
Communiqué de presse du groupe CRC du Sénat
2013-06-24 21:09:47REPUBLIQUE FRANÇAISE
COMMUNIQUE
Un texte qui ne répond pas aux défis
de l’enseignement supérieur et de la recherche
Malgré l’opposition du groupe CRC au projet de loi relatif à l’enseignement supérieur et à la recherche, celui-ci a été adopté vendredi dans la nuit au Sénat, grâce aux voix du groupe EELV et d’une partie du groupe centriste.
Ce texte n’opère pourtant toujours pas les ruptures nécessaires avec la LRU de 2007 et le Pacte de recherche de 2006 qui ont profondément déstructuré l'enseignement supérieur et la recherche. Il ne s’attaque toujours pas au fléau de la précarité.
Aucun changement significatif n’est donc intervenu au Sénat, si ce n’est la suppression grave de la procédure de qualification nationale préalable au recrutement des maîtres de conférences et de professeurs d’université par le Conseil National des Universités.
La suppression pure et simple de cette procédure, introduite par un amendement du groupe EELV, suscite à juste titre l’indignation de la communauté scientifique car elle supprime le caractère national du recrutement des enseignants-chercheurs, et partant, remet en cause leur statut, en entérinant un recrutement basé sur des critères uniquement locaux, sans garantie de qualité.
C’est pourquoi le groupe CRC s’y est opposé en séance.
L’introduction de cette disposition ne vient que renforcer notre opposition à ce texte. C’est pourquoi la CMP doit absolument rétablir cette disposition.
Paris, le 24 juin 2013.
Front de Gauche de l'enseignement supérieur et de la recherche Montpellier
Pétition de la CP CNU
2013-06-24 06:09:55Une pétition initiée par la CPCNU contre l'amendement EELV mettant en cause le Conseil National des UNiversités est en ligne à cette adresse : http://www.petitions24.net/cpcnu
Front de Gauche de l'enseignement supérieur et de la recherche Montpellier
Vote de la loi "Fioaraso" au Sénat : intervention urgente auprès de JLRoumégas, député EELV
2013-06-23 20:41:12
Front de Gauche de l'enseignement supérieur et de la recherche Montpellier
Courrier adressé aux sénateurs de l'Hérault ce 18 juin
2013-06-18 15:22:06
Madame, Monsieur le Sénateur,A l'occasion de la discussion sur la loi sur l'enseignement supérieur et la recherche, nous vous avons rappelé les exigences de la communauté universitaire, par le moyen d'une lettre ouverte, signée à ce jour par plus de 150 personnes, étudiants et personnels, dont la présidence de l'université Montpellier . Voir ci-dessous.Dans ce contexte, nous sommes préoccupés notamment par deux questions : celle des conditions de vie des étudiants, celle des précaires de l'enseignement supérieur et de la recherche.La situation des étudiants de nos universités est, vous le savez, marquée par de grandes difficultés économiques pour un nombre très élevé d'entre eux, bien supérieur à la moyenne nationale. Le nombre des précaires est estimé à un millier sur Montpellier, avec des pourcentages proches parfois de 50 % des personnels dans certains grands établissements de recherche de notre département.C'est pourquoi, à l'occasion de la discussion de la loi au Sénat, nous vous demandons de soutenir les amendements présentés par les élus du groupe Communiste, républicain et citoyen, qui prennent en compte cette situation :amendements n° 33 article add. après 8bis, demandant un rapport dans les 3 mois sur les conditions de travail, de rémunération et de titularisation des personnels chercheurs non titulaires du service public de la recherche. "Cet amendement vise à éclairer la représentation nationale sur la précarité des chercheurs, et plus particulièrement des personnels non titulaires, grande absente de la proposition de réforme."n° 37, relatif à l'article 11, s'opposant à l'existante de l'Agence Nationale pour la Recherche, qui programme des contrats de recherche à court terme, incitant à recruter par contrats précairesn° 48, article 19bis, visant à créer un statut du doctorantn° 54, article additionnel art23, relatif à la disposition RCE, qui a mis en grande difficulté financière nos propos universitésn° 56, article 23 : addition de « L’emploi statutaire reste la règle et le recrutement des agents contractuels ne peut se faire qu’à titre exceptionnel. »n° 85, article additionnel après art. 54 : « Les aides allouées ne peuvent servir à financer des postes de contractuels. Des dérogations peuvent être accordées de manière exceptionnelle et justifiée. »n° 86, suppression de l'article 6bis A, remplaçant les conditions de stabilité des personnels par celle de la masse salariale.n° 87, suppression de l'article 6bis B, qui augmente le Crédit Impôt Recherche, alors qu'il a contribué à ce qu'une entreprise comme Sanofi en bénéficie au moment où elle supprime des emplois.Nous serons bien sûr attentifs à vos interventions et à vos votes, et ne manquerons pas de le faire savoir.Avec nos salutations républicainesPour le collectif de l'Enseignement supérieur et de la Recherche du Fdg de MontpellierPierre Boutan, O6 88 94 26 48
Maeva Durand
Front de Gauche de l'enseignement supérieur et de la recherche Montpellier