Droit pour un père d'assister à la naissance de son enfant.
Commentaires
#405
https://www.ombudsman.europa.eu/fr/publication/fr/3510Le Code européen de bonne conduite administrative comme inspiration pour la Belgique:
"Les fonctionnaires sont impartiaux...... Ils sont prêts à reconnaître leurs erreurs et à y remédier.
Gabriela Sierck (Zaventem, 2020-06-30)
#408
Je signe parce que l'HUMAIN avant toutFawaz Bissar (Bruxelles, 2020-06-30)
#409
Je signe parce que je trouve que cette situation est inadmissible et inhumaine. Il s'agit d'une famille aimante, responsable, mature, de citoyens véritablement actifs dans la société, aux prises avec une situation kafkaienne et désastreuse.Catherine Wielant (Bruxelles, 2020-06-30)
#412
Bonjour, J’ai réussi à avoir un crédit auprès d’une dame très honnête et sérieuse. Les conditions sont bonnes ainsi que le mode de remboursement. C’est vraiment du sérieux le taux d’intérêt très abordable. je suis vraiment heureuse d’avoir obtenir mes prêts des 20.000 €.Merci a vous Mme Francoise Emerit. Si par ailleurs vous avez besoin d’un crédit, pour la contacter par :
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Pito Gautier (OSTRICOURT, 2020-07-01)
#415
Je signe par ce que toute femme vivant cette situation comprend l’importance d’être près de son compagnon à ce moment là.C’est son père et il est essentiel qu’il puisse accueillir son enfant correctement
Charline Mohamed ben maati (Bruxelles , 2020-07-01)
#424
Cet enfant a droit à venir au monde dans de bonnes conditions. Avec son père. C'est un droit fondamental. Ses parents n'ont pas à subir des tracasseries stressantes.Yves Gosselain (Ottignies, 2020-07-01)
#429
Un père a le droit et le devoir d'être présent à la naissance de son enfantCatherine Toussaint (Bruxelles, 2020-07-02)
#447
Je signe parce que le futur d’un enfant soit avec ses deux parentsMathias Martin (Bruxelles, 2020-07-05)
#449
Pourquoi être aussi dur vis-à-vis des africains ?Ce qui m'inquiète c'est qu'au lieu de s'améliorer, les choses se compliquent et empirent. Les frontières de notre pays se ferment de plus en plus à l'altérité.
Martine Depauw (Bruxelles, 2020-07-05)