Pour l’enseignement de la psychanalyse à l’université

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#101

2013-11-27 08:22

L'enseignement de la psychanalyse est fondamental pour apprendre au futur professionnel à réfléchir et à comprendre les enjeux sous-jacents, ce qui est essentiel dans cette profession.Il est fondamental pour comprendre le transfert qui est le vrai moteur de guérison, même d'un médicament.

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#102

2013-11-27 08:25

Quel est le sens profond de cette tentative de suppression de la psychanalyse (et de ce qu'elle représente et mobilise chez chacun) de l'université.... d'après vous?

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#103

2013-11-27 08:27

psychologue clinicien
myber

#104

2013-11-27 08:27

Quel est le sens profond de ces tentatives répétées de suppression ou d'invalidation de la psychanalyse et de cette part d'humain qu'elle représente et mobilise qui traverse actuellement notre société?

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#105

2013-11-27 08:31

Psychologue clinicienne

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#106

2013-11-27 08:31

enfin un acte pour défendre l'enseignement de la psychanalyse dans les études de psychologie. Il était temps. En effet, psychologue clinicienne, diplômée depuis peu, j'assiste à l'extinction des postes, à l'appauvrissement des connaissances en psychanalyse et par contre, un basculement vers les neurosciences, le cognitif et le comportemen-talisme ... avec un préjudice certain pour la thérapie : éclairage, guidance dans le respect de la singularité de tout humain et qui continue à -faire ses preuves- dans ma pratique quotidienne. (Ex étudiante psycho-clinique Toulouse Mirail (merci M. Lapeyre, M.J. Sauret , S.Askofaré, Macary ...) - madeleine calles -


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#107

2013-11-27 08:33

philosophe, maître de conférences

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#108

2013-11-27 08:35

psychanalyste

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#109

2013-11-27 08:36

Dans la suite du combat de Jean Laplanche et de sa revue qu'il a crée:Psychanalyse à l'Université

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#110

2013-11-27 08:40

L'enseignement de la psychanalyse devrait dépasser le cadre de la seule psychologie pour intégrer d'autres disciplines universitaires ou non, en acquérant une fonction diplômante à part entière.

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#111

2013-11-27 08:40

Il faut rappeler que l'on doit à Daniel Lagache et Juliette Favez-Boutonnier, tous deux psychanalystes, la création d'une filière spécifique de Psychologie à l'Université. Mais toujours la Psychanalyse dérange, à l'hôpital (davantage en psychiatrie qu'en médecine somatique, "étrangement") comme à l'Université. Le recrutement des psychologues hospitaliers nie leur expérience psychanalytique et celui des universitaires aussi. Il serait temps d'un "réveil" politique des psychologues cliniciens universitaires en particulier, qui ne sont peut-être pas sans responsabilité dans cette débâcle, ce rejet. La négation de la psychologie clinique par certains psychanalystes aussi a fait de gros dégâts. Il est temps de lutter pour une psychologie clinique et une psychopathologie psychanalytiques conservées et revigorées à l'Université!!!...

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#112 Re:

2013-11-27 08:45

#22: -

C'est effectivement ce que vise l'OMS et les instances européennes à travers un projet présenté depuis 2005 "Déclaration sur la santé mentale en Europe. Relever les défis. Trouver des solutions" . De promouvoir le DSM et l'approche comportementaliste du sujet   comme méthode unique pour le bien-être complet du citoyen !!!! C'est effectiveent un hygiénisme social à isée totalitaire !


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#113 Re:

2013-11-27 08:47

#10: cactus -

nulle part on vaut que se soit enseigner nulle part  ca n'a aucun interet et une perte de temps les etudiant on bien mieu a apprendre


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#114

2013-11-27 08:50

Pour l'enseignement de la psychanalyse à l'université !

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#115

2013-11-27 08:52

Sans en être la seule, la prise en compte des apports de la psychanalyse est décisive dans notre monde actuel (tant au niveau individuel que collectif). Merci à nos dirigeants de laisser aux jeunes et aux étudiants intéressés par le champ de la psychanalyse des espaces de travail et de réflection, indispensables pour le lien social de demain.
je ted

#116 Re:

2013-11-27 08:52

#54: -

en etre fiere !!!!!!!!!!!!!! je dirais plutot une honte oui !!!! tant de degat et de de tamps perdu aupres des enfant autiste il est temps que sa s'arrete et que vos pratique soit mis au plaquard


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#117

2013-11-27 08:54

J'enseigne moi-même la psychanalyse à l'université et les étudiants apprécient cette approche très féconde en éducation (MCF, Sciences de l'éducation)

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#118

2013-11-27 09:02

Pour que les étudiants en Psychologie sachent à l'avance le contenu psychanalytique de leur Master, et décident de poursuivre leurs études en toute connaissance des programmes, pour éventuellement choisir en Master2 une autre orientation clinique que la psychanalyse, par exemple: la Neuropsychologie.

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#119

2013-11-27 09:02

Je suis pour le maintien de l'enseignement de la psycho-patho à l'université mais tout à fait opposée à la délivrance d'un -diplôme de psychothérapeute- universitaire. Les école de psychanalyse sont des lieux ainsi que le divan qui ont leur place en ce qui concerne cette "place de psychothérapeute et d'analyste", ce n'est pas à l'université de délivrer ce -diplôme-. C'est un cursus personnel que de tenir cette -place. merci. Mais l'enseignement tel qu'il fut dispensé à paris VII - évidemment qu'il est souhaitable et nécessaire de le maintenir. N.Petrau.
Frank

#120

2013-11-27 09:05

Petit commentaire ... J'utilise la psychanalyse pour ce qu'elle est : un outil d'analyse. Elle est un mauvais outil thérapeutique, par contre. Mais elle est articulée pas certains comme une idéologie : ceux qui sont contre sont - aussi - contre la liberté; ceux qui sont contre sont en fait le jouet de leurs défenses, leurs résistances à la psychanalyse ici construite comme quelque chose qui ne puisse pas être réfuté, son universalité ne pouvant être remise en cause. Et ça, ça ne me convient pas ! Alors, merci à la ténacité de ceux qui ont écouté leurs défenses, leurs résistances et qui ont travaillé à faire progresser la science pour les autistes, les schizophrènes et bien d'autres trucs encore. Alors, c'était une défense ? Non, la science à permis de faire reculer l'emprise de la psychanalyse ou plutôt ceux qui sont tombés dans l'idéologie et ont lentement abandonné leur esprit critique ... Dommage ! La psychanalyse est un outil riche ! Il a été dévoyé par certains qui en ont fait une idéologie, c'est tout ! Et je suis bien désolé de voir certains commentaires qui ne peuvent être que le fruit d'idéologues : "Si la psychanalyse disparaît, ce sera la fin de la liberté dans le monde !" Allons donc !

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#121

2013-11-27 09:08

Pour que les étudiants en Psycho puissent choisir en toute connaissance les programmes de leurs études et puissent orienter leur formation en Master2 vers une autre orientation clinique que la psychanalyse, par exemple la Neuropsychologie Il faudrait en outre que cette orientation Neuropsychologie soit disponible dans un plus grand nombre d'universités françaises.

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#122

2013-11-27 09:20

Offrir la possibilité aux futurs psychologues d'étudier la psychanalyse c'est offrir plusieurs grilles de lecture, un espace de compréhension, ne faisant certes pas d'eux des psychanalystes mais laissant le choix de nos outils et nos méthodes, comme le dit si bien notre code de déontologie.

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#123

2013-11-27 09:20

psychologue ayant eu une formation de niveau bac +4 et/ou +5 dans les 3 spécialités que sont la psychologie clinique, psychologie du travail et psychologie du conseil. Ayant eu une Expérience de travail dans l'insertion professionnelle et exerçant aujourd'hui dans le secteur médico-social, Sans ma formation en psychologie clinique, avec une "sérieuse" formation en psychanalytique lors des études, j'aurais eu du mal à exercer mon métier auprès des personnes, voir à donner du sens à mon "écoute" des personnes différentes de l'écoute des autres professionnels soignants ou sociaux ayant une formation à la relation d'aide et j'en passe qui parle "d'écoute" que ce soit dans le milieu du travail, du conseil et/ou de clinique.
Bref, c'est le sens du métier de psychologue qui risque de basculer par rapport à cette "écoute" particulière, guider et construite grâce aux concepts apporter par la psychanalyse, qui risque de ne plus se différencier des autres professions et donc une profession qui n'a plus de spécificité, sinon à se rétrograder à une technicité psychométrique et encore...

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#124

2013-11-27 09:27

N'arrêtons pas de combattre contre le rétrécissement des espaces de la pensée!

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#125

2013-11-27 09:29

L absence de la psychanalyse est un non sens pour l enseignement et la diversification des pratiques .