RECONNAISSANCE DES DIPLÔMES EN TRAVAIL SOCIAL AU NIVEAU BAC+3

Enfin une lueur d'espoir qui j'espère aboutira. Je me suis battue pour avoir mon D.E. d'A.S.S. en cours d'emploi en 2001, en quittant mon île pour venir en France avec mes deux enfants, sans travail mais avec la volonté de réussir. J'ai gagné des compétences que je mets aujourd'hui au service de mon pays. La réforme du diplôme montre combien il est important de se former pour travailler dans le social. Ce travail exige une grande implication de notre personne... des compétences, des capacités à évoluer toujours et toujours. La reconnaissance  de notre diplôme n'est qu'une suite logique car il  qui exige 3 ans de formation à temps plein, les différents stages sont tout aussi formateurs pendant lesquels nous avons des exigences d'écrits de notre centre de formation tout en cherchant à évoluer dans nos lieux de stage. Notre formation ne doit pas être banalisée.
Il est important qu'enfin on nous entende.

Il est grand temps....je n'étais qu'un simple étudiant quant ce débat était déjà d'actualité dans les questions des statuts des travailleurs sociaux au sein du parlement européen....en 2003. Nous voici en 2011, et il est grand temps que l'on reconnaisse enfin la qualité de notre formation, le savoir faire et la théorisation de ce savoir des professionnels, mais également les compétences de chacuns dans les différents champs d'action professionnelle. Il est grand temps....allez tout le monde, SIGNEZ!!!!!

Etant donné que les études d'assistante sociale durent 3 ans, je ne vois pas pourquoi on ne serait pas reconnu comme ayant un niveau licence. Cela permettra de faciliter la reprise d'étude en fac ou ailleurs pour les travailleurs sociaux qui souhaitent approfondir leurs compétences ou spécialisations. Mais peut être que cela pose un problème?
De plus ces métier sont difficile et il faut faire preuve de beaucoup d'éthique, de responsabilité et de compétences en relation humaine. Je crois que les travailleurs sociaux mériteraient largement plus de reconnaissance que nos décideurs politique pour le coup très éloignés des réalités de la population, de l'éthique et des responsabilités qu'implique leur fonction.