POUR QUE DIEUDONNE FINISSE EN TAULE

Lettre ouverte à toi qui te reconnaîtras

Cet article n’est pas de moi, mais je le partage ici.

Je suis juif, sioniste, israélien, Cohen, ancien soldat de Tsahal, fils de rabbin, banquier etc. etc.

Je suis ce que tu détestes le plus au monde, celui qui est selon toi la source de tous tes maux.

Si tu veux la vérité, ce sont des conneries. Ce n’est pas moi le « système » et je ne tire aucune ficelle. Tout ça c’est dans ta tête, ça n’existe pas le Président du CRIF qui reçoit Hollande pour lui accorder un prêt dans les bureaux de la banque de Rothschild. 

En gros, je n’ai rien à voir avec tes problèmes.

Mais ça c’était avant. C’était avant que tu ne ris rue de la juiverie, au mémorial de la Shoah, devant la synagogue, devant la photo d’Anne Frank, à Jérusalem ; c’était avant que tu ne chantes « Shoananas ».

Maintenant, c’est vrai, je suis ton problème, ton cauchemar.

Te fatigue pas, pas la peine de te justifier avec ton m’bala bla, je reste face à toi !

Dis-toi antisioniste, je suis Israélien sioniste

Dis-toi antisystème, j’en deviens les rouages.

Assume-toi antisémite, je suis juif. 

Le problème c’est BHL ? Appelle-moi Bernard.

Ahh non ? C’est les Américains ! Je suis l’Oncle Sam !

Too late, Tu ne t’échapperas pas, je suis là, devant toi, je ne te lâcherai pas.

Que ton bras soit vers le haut ou le bas, m’en fous, je te le briserai.

Tu chantes encore shoananas ? Je suis la mémoire des miens et des autres et je vais hanter tes nuits.

Tu rêves d’une France autre ? Je vais te ressasser Léon Blum, Zola, Cassin… N’essaie pas de te barricader, j’entre chez toi comme dans un moulin.

Tu continues à rire des chambres à gaz ?! Je suis la Justice, celle qui t’étouffera.

Je vais te combattre comme un fou sans pitié. Tu me verras partout, dans ton sommeil, au travail, chez toi, à la télé, chez le médecin, chez l’avocat, devant le juge, en prison, à l’hôpital, à la banque partout !

Appelle moi comme tu veux, juif, sioniste, vendu, vermine, système, France, juste, Homme, citoyen, LICRA, CRIF, …

ça ne change rien, c’est trop tard, je t’ai élu !

Yoham Cohen.