Il serait souhaitable que la SFETD sorte du Dogme : la Douleur c'est dans la tête lors de son congrès" et qu'il y en a marre des sujets sur la prise en charge psychologique du patient douloureux chronique.
Il serait souhaitable que la neurostimulation, le FBSS soient enfin discutés au sein de la SFETD par les médecins membres qui font de la neuromodulation en médecine de la douleur et qu'elle s'associe à l'INS. Au lieu de rester dans son coin avec le logo de l'IASP qui culturellement est chrétienne depuis son origine.
Il faut que les Charges et la Suradministration de la médecine de la douleur soit mise au banc des accusés. C'est aussi un début pour nous faire reconnaître des pouvoirs publics et des ARS....

#1: -  

 

Je crois que vous vous méprenez sur les rapports de la SFETD et ses membres à la prise en charge de la douleur chronique. Vous n'avez pas entendu, ou peut-être de travers, le message omniprésent dans le discours de notre société savante. Je suis moi-même médecin algologue, j'implante des neurostimulateurs médullaires, des pompes intrathécales… et pourtant, je ne conçois pas ma pratique d’algologie sans une approche prenant en compte le patient dans sa position de sujet (sujet désirant au sens analytique du terme). Il s’agit bien sûr de quelque chose de tout à fait différent que la « psychologisation » du symptôme que vous semblez évoquer. Mais votre réaction a le mérite de mettre en exergue l'étroitesse de la pensée scientifique actuelle, déplaçant les soins vers une dérive consumériste et faisant du corps et de la plainte une marchandise épurée de toute dimension symbolique. C’est pour cela que la prise en charge de la douleur chronique nécessite une formation spécifique, pour que la plainte de nos patients ne finisse pas aux oubliettes de la médecine sous l’effet de la pensée unique, toute puissante et méprisant l’interdisciplinarité. C’est pour cela que j’ai signé cette pétition.

#1: -  

 enfin!!!! il est temps de se bouger cela fait 10 ans de retard!

j'espère ,comme tant de professionnels de la douleur ,que s'il le faut, nos actions ne se limiteront pas à cette pétition,car hélas nous n'avons plus rien à perdre,mais les patients beaucoup!