VITE, UNE ECOLE POUR NOS ENFANTS

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Visiteur

#21

2013-09-11 17:55

Deux enfants inscrits à l'EPIAD - Nb d'élèves par classe proche des 30 - Sress permanent depuis 1 an de voir nos bourses suspendues- les pressions d'inscriptions sont fortes et extrêmes- limiter les places aux français et par conséquent le nombre d'enfants boursiers, ne serait_il pas le moyen de favoriser les places payantes? une question qui me tarabuste chaque jour- Que l'administration face le calcul du cout de rapatriment d'un enfant (aide sociale, allocations...) et le compare à celui d'un enfant inscrit à l'EPIAD: Favoriser les bourses pourrait se montrer plus économique pour l'Etat au risque de nous voir tous rentrer en France...

Réponses

Jules Ferry

#23 peut mieux faire

2014-01-12 18:59:13

#21: -

Moi ce qui me choque le plus, ce sont les frais de scolarité : 500 euros par mois, ajoutez-y la cantine, et les livres !

J'y ai scolarisé mon enfant l'an passé. Heureusement que l'instit' était digne de la "prestation" (comment qualifier d'autre un racket de 500 euros, alors que l'on paie les familles en France pour aller à l'école gratuite ?), car la gestion y était catastrophique, incompétente et complètement dépassée.

Nous avons attendu tant longtemps un établissement de qualité, voici que l'Epad n'est pas à la hauteur ! J'y ai libéré une place pour mettre mon enfant dans un établissement dans lequel il s'épanouit, n'a plus d'intoxications alimentaires et tellement moins cher !

Alors oui, il a le double programme, mais l'éducation (et non plus la prestation) est réellement à la hauteur, sans regrets !

J'ai personnellement connu des enfants admis à l'Epiad qui n'étaient pas sur les listes d'admission du test d'entrée, algériens, "bien nés", alors que mon enfant a préparé et passé le concours en toute régularité... Vive la France, vive la république, et l'éducation à 2 vitesses !

Réaliste

#24 L'Algérie n'est pas un département d'outre mer

2014-01-12 19:10:54

#21: -

Les Français ne sont pas forcément tous boursiers ! (puisqu'expatriés, la plupart ont de plus gros revenus, donc ne sont pas concernés par la bourse). Vous ne souhaitez pas que vos petites "têtes blondes" ne se mélangent pas aux petits enfants bruns crépus; et créer un ghetto franco-français ? Sachez que la plupart des Algériens qui postulent à l'Epiad ont les moyens de fournir une bourse aux 850 enfants qui fréquentent cet établissement. D'autre part, le "rapatriement que vous évoquez n'aura pas lieu, car les raisons qui poussent les familles françaises à venir en Algérie sont plus d'ordre "économiques" que philantropiques.

Vos arguments ne sont pas justifiés et relèvent plus du néocolonialisme qu'autre chose.