Lettre Ouverte à l'attention de Monsieur le Maire Philippe Bodard


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2013-02-13 22:21

M le maire vous ètes responsable de vos actes il n'ya pas plustard que ce matin je vois dans le journal courrier de l'ouest que si moussa ag assaride était impliqué dans tout ce que le mali et le peuple subit dans ces 12 dernier mois (qu'on aportent les preuves; de ce fait je vous envoie quelques unes). cela est l'interview de france 24 avec moussa ag assaride votre protéger l'ami des terroristes, le bandit le petit manipulateur de l'anjou (homme bleue Azawad=mujao=alqaîda=ansardine) si je comprend vous etes pour les prises d'ottages des europeens dans l'azawade, pour les mutilleries à gao à tombouctou et les milliers de vies humaines detruites par moussa et ses complice (Vous etes un élus d'un pays , un continent, une nation mais j'aurais jamais immaginer une tel!!!!!  c'est l'incomprehention ou c'est par mépris  l'ignorence de votre part .

peuple malien et  la nation malienne vous remerci de votre contribution à la paix dans le sahel, en afrique noir et dans ce continent  si pauvre et riche de culture.
Conversation démarrée 18 janvier

22:06
Fatoumata Diakite
Bonjour l'équipe de france 24 votre alliers à detaillé ses ambitions bonne lecture.
Le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA), héritier de plusieurs mouvements de rébellion targuie dans le nord du Mali veut avoir un rôle clef dans la guerre. Son porte parole, Moussa Ag Assarid dit que la révolution indépendantiste a été détournée par des terroristes et il tend la main à la France. Mais avec des conditions. (Photo ci-dessous, Moussa Ag Assirid porte parole du Mnla)
Le MNLA est-il prêt à combattre au côté de la France contre les fondamentalistes ?
Notre position est claire. Nous voulons des droits pour le peuple de l’Azawad. Et nous luttons déjà contre les terroristes. Avant même que la France ait commencé à le faire nous les affrontions déjà. Nous connaissons ce territoire et ses gens. Nous avons des combattants expérimentés qui savent se battre. Qu’on nous laisse faire le travail. Ce n’est pas au mali de régler ça, ni à la Communauté Economique d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Il faut négocier pour déterminer les conditions, et tout ce qui se passe sur le terrain, nous nous chargerons de le résoudre.
Mais pour Bamako, le MNLA est aussi l’ennemi.
Il ne faut pas faire l’amalgame entre de MNL A et d’autres groupes armés. Nous ne sommes pas des terroristes ; nous voulons des droits sur nos territoires et nous demandons l’indépendance. Aujourd’hui, nous devons négocier avec Bamako pour déterminer notre rôle et les statut [du territoire) de l’Azawad.
Le MNLA a-t-il le sentiment que sa révolution targuie a été détournée ?
Tout à fait. Notre peuple vit dans la soumission depuis 50 ans. Depuis 1960, nous avons été massacrés, nous avons subi un génocide, et comme il n’y avait aucune volonté de trouver une solution politique, nous avons fait la guerre à Bamako pour la dignité de notre sang versé, de nos enfants et des milliers de réfugiés. La communauté internationale ne doit pas l’oublier. Il est inutile que le gouvernement malien ttente de récupérer le territoire de l’Azawad s’il ne s’assoit pas à la table de négociations. Les choses ne peuvent plus être comme avant, avec l’armée stationnée au nord tandis que les villes s développent au sud. Il y a un problème politique, il faut le résoudre et ensuite, nous nous impliquerons dans la lutte contre le terrorisme au Sahel.
Et si le gouvernement malien ne cède pas à vos revendications ?
Sans solution politique, le Mali ne retrouvera pas la paix.
Quelle est cette solution : l’indépendance, une certaine autonomie ?
Il doit d’abord y avoir une négociation franche entre la communauté internationale, le MNLA et Bamako. Une fois la solution politique trouvée, nous verrons ce qui se passera. Cet accord sera déterminant pour la lutte contre le terrorisme.
Le MNLA peut-il vaincre les extrémistes ?
Nous disposons de plusieurs milliers d’hommes et de matériel qui nous permettent de nous adapter au terrain et de combattre dans un territoire que nous connaissons comme notre poche. En outre, la population est de notre côté et elle nous renseigne chaque jour sur leurs positions. Nous savons où sont les terroristes.
Par Xavier Aldekoa, La Vanguardia (Espagne) 16 janvier 2013 traduit de l’espagnol par Djazaïri