roulottes

Si on se rapporte a un texte écrit en page 4 dans le journal le Ripierrois de février, 3ième paragraphe, madame Bonin fait une analogie a un règlement sur les voitures en Ontario. Si on s'en tient au corps du problème énoncé dans l'exemple, il n'est question que de pollution et c'est un problème qui se corrige. L'automobiliste en question pourra enfin mettre de l'essence, aller au restaurant avec ses enfants.

Cet exemple de madame Bonin ne tient pas la route puisque dans le cas qui nous concerne, le phénomène de la pollution s'il en est un dans notre environnement n'est qu'une formalité. Notre cri du coeur est un problème humain que seul un système social bien équilibré serait en mesure de régler, beaucoup plus qu'une simple machine qu'on met au rebut sans y apporter de solution.

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