Acharnement de l'administration française: Caf & Sécurité sociale

Après une enquête diligentée par la caisse d'allocations familiales du Gard et suite à une enquête de voisinage très proche, la caf à retenu contre moi, des propos calomnieux de voisin très proche et de 2 autres personnes (au total 3 personnes).

La caf vient de remettre un dossier accablant qui me met en vie maritale avec mon ex-mari. Ce dossier est criblé de vice de forme. Il a été remis à la cellule de fraude et je suis donc, en procès avec la caisse d'allocations familiales du Gard et la sécurité sociale qui m'accablent et à eux deux me réclament plus de 26000 euros.

A ce jour, je risque les pénals à cause de propos calomnieux de 3 personnes dont j'ai porté plainte auprès Monsieur le Procureur, sans réponse de sa part.

Motif

Fraude à la CAF: Conclusion de la caf: Vie maritale avec comme motif invoqué:  divorce d'interêt.

D'après eux, nous aurions fait un divorce d'interêt dont le seul but aurait été de voler l'état afin de garder notre bien.

Or, celui-ci avait été mis en vente et nous n'avions pas réussi à vendre cet immeuble de 330m2 d'où notre désir de rester en indivision.

Ceci est prouvé au centre des impôts et apparait dans notre acte de divorce.

Le prêt bancaire n'étant  pas terminé, à ce jour nous le remboursons toujours. Ce prêt à été contracté à nos deux noms. A l'époque,  nous étions mariés sous le régime de la communauté.

Donc, si l'un ne peut pas payer, l'autre paye.

Or je suis divorcée depuis 2009, vivant seule avec ma fille de 15 ans, j'ai plus de 25 ans, plus de 3 mois sur le sol français aussi mon droit le plus absolu de bénéficier du RSA socle et de l'allocation logement.

J'avais signé un plan de réinsertion professionnel qui fut respecté. avec un parcours de création d'entreprise qui était en cours et obtention de la licence de producteur de spectacles vivants de 2 et 3 cat de la DRAC du Languedoc Roussillon que j'ai obtenu depuis lors.

Nous avons une propriété indivise de 330m2 et mon ex-mari, s'était octroyé une pièce au rez de chaussée de cette bâtisse qui était en travaux et il y venait occasionnellement afin d'y faire ses travaux. Local déclassé reconnu par le centre des impôts mais ayant des commodités or le constat dit le contraire. Les travaux n'étant  pas achevés, il ne pouvait donc le déclarer en habitation principale.

Les voisins qui me sont hostiles ont donc décidé de me harceler en invoquant cette situation erronée et témoignant d'une vie ma

Celui-ci est hébergé par son employeur puisque toujours en déplacement et prouvé par celui-ci. Les week end et autre, il vit chez un ami qui l'hébèrge gratuitement.

J'ai prouvé ma situation par des témoignages, des photos et malgré cela le Directeur de la CAF continue son acharnement ainsi que la sécurité sociale en me poursuivant en justice.

J'avais aussi la CMU (couverture maladie) de la sécurité sociale qui me demande un remboursement de plus de 4500 euros suite à ces attaques de la caf.

Cela à entraîné bien sur la rupture de mon contrat me laissant sans rien pour vivre ni possibilité de continuer mon parcours pro.

J'avais du placer ma fille en famille d'accueil et celle-ci est restée 3 jours sans manger car je n'ai jamais été en vie maritale avec mon ex mari ni ne le suis.

La caf n'a jamais pu prouver quoi que ce soit puisqu'il n'y a rien à prouver sauf de m'accabler à cause des propos calomnieux de ces 3 personnes.

Le tribunal administratif ne se sert que de documents calomnieux et à ce jour je viens de recevoir un jugement m'accusant et me demandant 5000 euros. Jugement adressé à ma mère et non à moi-même puisque mon prénom est Dominique et que ce jugement est adressé à Madame Anne -Marie Lhoest qui est mon deuxième prénoms et prénom de ma maman donc je viens encore de faire appel pour jugement irrecevable pour ma part, cause:  Ce jugement est adressé à la mauvaise personnes (encore un vice de forme) et je réitère également le bien fondé de ma situation  c'est à dire réellement divorcée, n'ayant jamais été en vie maritale avec mon ex-mari et n'avoir jamais fraudé.

 

A ce jour, un article devrait sortir dans la depêche du GERS , où je vis et je me reconstruis avec ma fille qui est sous ma garde exclusive.

Je suis, de nouveau en réinsertion professionnelle grâce à cap emploi et le pôle emploi.

Je prépare une VAE dans l'humanitaire, en recherche active de travail ainsi qu'en parcours de créateur d'entreprise.

Mes droits ont été remis en place dans le Gers mais l'acharnement du Directeur de la caf du Gard ainsi que la sécurité sociale continuent freinant mon avancée professionnelle.

L'administration française à aggravé ma situation financière aussi  le conseil général du Gers m'apporte son soutien.

Je remercie vivement les assistantes sociales du Gard, du Gers, le conseil général du Gers et du Gard en partie, la famille d'accueil et les services d'aide à l'enfance, ainsi que 2 conseillers généraux du Gard ayant contribué à me soutenir dans cette affaire de justice, mes amis(es) en tous genre etc..

Nul n'est censé ignorer la loi.