faire le choix de réhabiliter le raccordement "direct" de SAINT-HILAIRE-AU-TEMPLE, c'est aussi permettre aux populations de l'ARGONNE et du CENTRE MEUSIEN de pouvoir accéder au bassin d'emplois de REIMS - METROPOLE dans de bonnes conditions de transport (avec des horaires adaptés)tout en continuant à pouvoir vivre et résider dans leurs territoires d'origine. Cette mesure aurait aussi pour conséquence indirecte non négligeable de mettre un frein au processus de désertification en désenclavant ces zones à faible démographie.

#226: Jean-Claude GERARD -

Le racc de St Hilaire aurait également un effet de flux de population inverse. C'est à dire que les rémois ne pouvant accéder à la propriété sur l'aire urbaine de Reims, viendrait gonfler la population Suippase et Ménéhildienne. Ils pourraient ainsi vivre en campagne et accéder au travail ou école rapidement (Suippes serait à 31' de Reims et Menou à 54'). L'Argonne faisant partie du "Pays de Châlons", la capitale régionale s'en verrait bénéficiaire également par la consommation de ces nouveaux ménages.

#226: Jean-Claude GERARD -  

A aucun moment dans son interview accordé à " L'Hebdo du Vendredi ", intitulé " Les trains passent, la ligne reste " et publié dans le numéro du 20 décembre 2013 au 9 janvier 2014, le directeur délégué régional TER à la SNCF pour la région Champagne-Ardenne fait apparaître la nécessité, pour les habitants de L'Est marnais et du Centre meuse, d'un accès ferroviaire direct à Reims-Métropole. C'est assez choquant quand on sait que Reims-Métropole regroupe maintenant plus de 219 000 habitants !