Pour la santé financière de St-Augustin et de ses citoyens!

Quel sac? Est-ce que M. Blais est un chat?

Pour ma part, j'ai déjà dit que je n'endossais pas toutes ses remarques, mais voici ce que je retiens des propos de ce Monsieur, qui a publié sur facebook, une analyse sommaire sur la situation financièr de notre ville en se basant sur les données qu'il a trouvée, car il faut se le dire, les données sont rares et nous en avons très peu: "Le plan triennal d'achat d'immobilisations de 2013 , entériné par le conseil municipal de st-Augustin en ... (2013), qui propulse la dette nette au-delà du seuil à ne JAMAIS franchir pour l'insolvabilité: «UNE DETTE NETTE qui dépasse les 200% des revenus de fonctionnemement"

Les gens savent que je suis une femme d'opinion qui a à coeur la ville de St-Augustin et ses citoyens. Je ne me suis jamais cachée pour dire ce que je pensais ou pour exprimer mes inquiétudes. Le but de la pétition est tout simplement d'avoir une séance d'information où les citoyens pourront s'exprimer, poser leurs questions librement et avoir réponse à leurs questions.

Pourquoi dire que le chat est sortie du sac? Depuis le 22 décembre dernier, St-Augustin est sur la sellette comme jamais, on nous sort des chiffres contradictoires d'un côté comme de l'autre. Le "torchon" brûle, M. Labeaume nous accuse d'avoir mal géré et nos élus plaident que c'est de la diversion. Entre temps, rien ne se règle, nous venons de subir une augmentation de 25% de notre compte de taxe et nous avons un sérieux problème avec la structure d'agglomération qui perdure et qui fait en sorte que les citoyens sont pris en otage. 

Je ne crois pas être seule à croire que la mise en lumière de nos chiffres, la mise en lumière du détail de notre dette qui m'inquiète vivement, la mise en lumière du pourquoi de cette augmentation, la mise en lumière détaillée de notre budget de proximité et de celui de l'agglomération, et ce, par les élus autant de St-Augustin que de Québec  ne peut être que bénéfique pour notre ville et ses citoyens. Aujourd'hui, est-ce qu'on peut dire que notre ville va bien? C'est triste!

Répondre aux citoyens inquiets ferait en sorte que les chats demeureraient dans leurs sacs et cela éviterait des interprétations de toutes sortes qui servent seulement à diviser les gens.

Sylvie Asselin