#1: -
Je suis d'accord avec vous. Simplement, l'urgence pour laquelle le temps est maintenant compté est de sauver le bâtiment, c'est à dire de s'occuper d'abord des parties porteuses (pylônes...) et des éléments structurels donnant sur l'extérieur principalement . Le fait de présenter le coût total de la restauration (6 millions d'euros environ) comme un coût entièrement à supporter par la ville de Grenoble (ce qui est faux) a jusqu'ici toujours constitué un argument pour laisser la tour se dégrader sans qu'aucune perspective précise soit sérieusement envisagée. L'idée de la pétition est d'inverser la logique municipale actuelle : c'est à dire d'abord sauver la tour avec une enveloppe partielle débloquée dans les 3 ans (et utilisant pour partie les subventions auxquelles la tour a droit et le mécénat d'entreprise) et ensuite seulement, envisager la requalification du bâtiment en lien avec les propositions des habitants ou des sympathisants de la tour, le cas échéant.