Soutien à la liberté d'expression et au pluralisme de l'information

lorsqu'un journal couve en son sein un journaliste qui se permet d'insulter des lecteurs qui ont une autre opinion que lui en les traitant de "I CUNACCI", il ne mérite que mépris et désintérêt. Et si il y avait des lecteurs que l'overdose d'information sur la langue Corse fait souverainement "CHIER", ceux ci en démocratie ont le droit de manifester leur mécontentement comme bon leur semble à condition de rester dans le cadre de la loi, et c'était le cas. Alors se faire traiter de connards par un paltoquet dont on ne partage pas les idées vu par la direction de Corse Matin ceci constitue en droit du travail une faute grave. Le comble c'est que c'est Jacques RENUCCI qui écope d'une sanction et le paltoquet qui fait partie du quarteron de propagandistes nationalistes qui est promu. Cherchez l'erreur!